Randos du mardi avec Luc

04/04 – Journée mondiale des véhicules tous terrains ! Ben oui, les 4×4 … désespérant, je sais…!    Bon, nous, on continuera d’aller à pieds.  Il fera beau, nous allons en profiter
A la pointe du Raz, des goûts et des couleurs nous ne discuterons pas, mais du goût on devrait avoir !  Entre 9 et 10 km, environ 180m de dénivelé positif cumulé, possibilité de raccourci pour qui voudrait en fin de parcours.  Du goût on a eu !

11 avril – Confort-Meilars – Finies les Pâques, les cloches sont revenues, moi aussi, je n’aurais pas voulu vous poser un lapin, œuf course… Nous irons cheminer dans le Confort, pour le Meillars et pour le pire ! Entre 9 et 10 km, 90 m de dénivelé positif cumulé, sans difficulté, peut-être un peu de gadoue par ci par là, ne m’en demandez pas plus, flemme de reconnaître ce parcours déjà fait fin janvier 2022.
Nous étions 15 à avoir osé braver une météo incertaine, dans la joie et la bonne humeur comme toujours !  Petit raccourci sur la fin pour rentrer aux voitures avant qu’il pleuve vraiment, on a fini juste à temps !

18/04 – C’est les vacances, toujours une bonne période pour faire le Caon, ce qui n’étonnera personne ici de ma part… Donc nous irons nous fatiguer un peu auprès du Ménez Caon, à Telgruc.   9 km, un peu plus de 200m de dénivelé positif cumulé, sentiers et chemins praticables.  La 1ère partie, c’est du côtier de la presqu’île, je ne vous fais pas de dessin…   Il y a notamment à un moment une grimpette brève mais intense de 70m de dénivelé à 20, 25%, mais connaissant votre goût légendaire de l’effort, ça va se faire en souriant !   La récompense, c’est que c’est très beau.
Après, c’est le calme de la campagne, pour finir par une étude comparée de l’architecture des cabanes de pauvres qui fleurissent à Telgruc, dont celles à toit-terrasse de type méditerranéen, signe du réchauffement climatique ? ?    25 nous fûmes à nous régaler de points de vue et paysages exceptionnels, d’autant plus appréciés qu’il a fallu un peu d’effort pour y accéder.    Du goût, encore et toujours, merci à vous pour ce bel après-midi partagé.

Randos du jeudi avec Jean-Michel et Marianne

6 avril – Névet ouest – 19 recrues pour ce stage commando. Début de mise en forme par le bayou du bois du Nevet. Pas vu un caïman. Ensuite ornières et bains de boue puis passage de fil (pas barbelé) et enfin descente vertigineuse. Deux recrues à terre mais pas de blessés graves. Retour au camp plus calme. Diplôme de seconde classe remis à tous. Repos !

13 avril – Seulement 16 randonneurs ce jeudi pour Guengat new look. La peur de la pluie a effrayé un grand nombre (les vacances de Pâques aussi), toujours est-il que pas une goutte d’eau n’est venue troubler cette marche, la preuve en photos.

Randos du vendredi avec France, Alain et Marité

7 avril – PLogoff / Pors Loubous – 27 participants – 7,5km. Pleine floraison de l’arméria maritime appelé également Gazon d’Espagne.

14 avril – La Montagne de Locronan – 14 participants – 6km – Petit parcours en raison des conditions météo, finalement sans pluie. Observation d’un chèvrefeuille arbustif  « Lonicera ».

21 avril – Pte de Talagrip – Ste-Anne la Palud – 25 participants – 8km

28 avril – Beg-Meil / Fouesnant – 23 participants – 8 km
« La pointe du moulin ». De moulin on ne retrouve aucune trace, mais l’écrivain Proust  y a séjourné en 1895 et s’inspira de Beg Meil pour créer la célèbre station balnéaire Balbec à la suite romanesque « A la Recherche du temps perdu ».

France pour la mise en page

Randos du mardi avec Luc

7 mars – balade à la campagne entre St Albin – « St Talbin » aurait écrit Audiard pour Gabin – et Quéménéven.
10 km, 135 m de dénivelé cumulé, ni dificulté ni passage scabreux, paysage caractéristique de notre belle campagne agricole locale, remembrée avec plus ou moins de discernement…   Météo pas top, mais on a vu pire.

14 mars – Port-Launay (clic) – à marée basse, pour contempler la vallée de l’Aulne qui ne manque pas de charmes, malgré l’avis d’un provençal à l’esprit chagrin qui n’avait pas aimé, mais Aulne niçois qui mal y pense, on s’en fiche ! pfff… je sais….
Trêve de billevesées, parcours de 10 km, 130 m de dénivelé positif cumulé, dont une grimpette de 600m à 10% en fin de parcours.
Arrêt à la chapelle Saint-Sébastien sur la commune de St-Ségal. Dédiée à St Sébastien que l’on implorait pour se préserver de la peste a pour origine la terrible épidémie qui venant de Brest s’étendit jusqu’à Hanvec et le Faou, cette chapelle fut installée dans la seconde moitié du XVIe siècle sur les terres du Seigneur de Kergoët (cf.J.Y Cordier)      

21 mars – Parcours de Locquéran sur la commune de Plouhinec –  en espérant ne pas y rentrer en loque, errants, mais plutôt en conquérants !
10 km à peine, 180 m de dénivelé positif cumulé, assez fractionné, moins casse-pattes qu’un côtier du nord du Cap, sans être pour autant le plat pays bigouden. Terrain un peu gras, sans plus.  Nous remonterons tout d’abord la rive gauche du Goyen, et finirons entre bois et campagne, plutôt joli.   Ben jolie balade , Goyen Johnny go !  On a eu du goût, non ?  Du goût, Johnny goût ! !

28 mars  –  Finalement, on va aller faire du plat – ne me demandez pas à qui, chacun.e se débrouille comme il elle peut.., parce qu’il faut bien se remettre du passage à l’heure des thés, et profiter de ce qu’il fait jour plus tard.
Mousterlin (clic) –  environs 9,5 km, dénivelé négligeable, nous serons contre vents et marais, mais c’est beau – ben oui, le plat c’est beau, tous les homéopathes vous le diront, avec de belles perspectives océaniques, quoi que perturbées par la présence inopportune de l’archipel des Glénan sur l’horizon, on fera avec…  Dernier commentaire, pour qui se souvient des courses océaniques d’il y a 50 ans : en navigation, c’était pas qu’un mousse Terlain !
22  pas « v’là les flics » qui étant pris ailleurs ne pouvaient ici nous bassiner, 22 nous étions à Mousterlin.   Temps gris, quelques gouttes de crachin mais pas trop, de la lumière quand même, de celles que seul le Finistère sait nous offrir.   Arrêt à la chapelle de N/D de Kerbader (clic).
Bonne humeur collective de surcroît malgré le vent de suroît, bref on a eu du goût je crois.

Photos d’Herveline que l’on remercie !

Randos du jeudi avec Jean-Michel et Marianne

2 mars – jeudi, 24 pêcheurs à pied ont arpenté les plages de Trezmalaouen et de Kervel. Ils s’en revinrent bredouille. Points de coques, de birinics et autres coquillages ramassés dans leurs paniers. Tout ce qu’ils attrapèrent fut un bon bol d’air.

16 mars  –  CAST – St Gildas – Nous avons quitté Douarnenez sous la pluie, un petit peu d’eau lors de la marche et un peu d’humidité au retour. Cela n’a pas affecté les 21 curistes qui ont apprécié la marche dans la gadoue, la gadoue, la gadoue…

30 mars – La Pointe du Raz – Pas de masque et de tuba cette fois-ci pour nos 19 marcheurs. Pour une première à la Pte du Raz, la balade a été vivifiante. Par contre on n’a pas vu Sein, on en est resté sur notre faim. Peut-être une prochaine fois….

Randos du vendredi avec France, Alain et Marité

3 mars – Pont l’Abbé –  7,5km – 29 participants
Chemin de halage le long de la Rivière de Pt l’Abbé et sentiers en sous bois, passer devant le manoir « Le Clos de Trévannec »  voir les articles du Télégramme 26/06/2017 (clic) sur la reprise et la restauration du  Manoir de Trévannec 26/07/2001 (clic).

pour revenir à l’église de N/D des Carmes( clic) vers notre point de départ.

17 mars – de nouveau dans le bois du Névet – on est abrité du vent, on l’aime !!
7km, 20 participants

Et pour terminer ce mois tourmenté, voici
la recette gourmande de Dominique et Amédée
qui a agrémenté la pause habituelle…

31 mars – Sentier côtier de la plage du Ris à Trezmalouen – Croix de Beg ar Gareg – 7km – 17 participants – et toujours un vent tempétueux !  

Les natices (clic)  « Il s’agit de pontes de natices, ou natices porte-chaîne ou grandes natices, un coquillage gastéropode : en pondant, il agglomère ses œufs en bande à l’aide d’un mucus gélatineux se mélangeant avec le sable » Orlane Helary – Le Télégramme du 15/03/2022   Les nasses réticulées sont constituées de sable aggloméré et alvéolé dans son épaisseur. Le petit gastéropode pond dans la partie non visible, concave, qui est en contact avec le sable.

France Triffault pour la mise en page