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Sortie annuelle

LE MAGNOLIA, TOUTES VOILES DEHORS !

Ce jeudi 4 mai 2023, une journée au fil de l’eau, partagée par 80 adhérents de l’association, nous mène à Lorient découvrir la cité de la voile Eric Tabarly.

Une occasion de comprendre ce monde fabuleux, dont pour beaucoup d’entre nous ne visionnent que les images des grandes courses au large, avec en particulier « Le Vendée Globe ». Une course autour du monde d’environ 40 000 kilomètres, en solitaire, sans escale et sans assistance, rien que çà !

Notre guide nous présente la plupart  des phases de préparation dont nous sommes loin d’imaginer les efforts consentis : études et essais des structures bien sûr, mais aussi de navigation, de production d’énergie et d’eau, de matériel de survie, alimentaire, et la liste est longue.
C’est plus d’une trentaine de personne qui œuvre pendant 4 années pour boucler le tour du monde en moins de 80 jours.
A ce jour, le record est tenu par le skipper Armel Le Cleac’h en 74 jours, 3 heures, 35 min et 46 secondes.

La visite permet également de s’essayer à la navigation …

Il est temps de passer à table. Et comme toujours le menu est top !

Un petit café, puis direction le quai d’embarquement pour une
croisière sur la rivière le Blavet.

Après l’entrée dans l’une des alvéoles de la base des sous-marins, l’histoire de la pêche et du commerce à Lorient nous est racontée par notre guide, tout en remontant le fleuve dont le terminus est à Hennebont.
Un paysage incroyable où vivent en harmonie une faune et une flore remarquable.

Une journée formidable qui se termine par les honneurs de Guylaine qui nous a proposé ce voyage « Visages du monde ».

Allez kénavo ! Et à l’année prochaine.

Guy Yan pour les photos et le texte
France Triffault pour la mise en page .

Pontivy ! Du canal à l’autorail…

Pendant que Douarnenez s’éveille doucement,  il est 7h,  Tréboul, Pouldavid, Ploaré et Centre ville, voient se regrouper le Magnolia pour la destination de Pontivy, sur le thème du canal de Nantes à Brest.

A peine 2h de voyage et nous arrivons à Hilvern situé à 15 km au Nord Est de Pontivy et plus précisément à l’écluse n°76.

L’histoire nous est contée par notre Guide, généreux dans sa présentation.

« Le Canal de Nantes à Brest, projet initié par Napoléon 1er en 1804, avait pour objectif historique de relier Nantes aux deux grands ports de guerre bretons : Brest et Lorient.
Le 1er janvier 1842, après des travaux longs et difficiles, le canal de Nantes à Brest ouvre à la navigation sur toute sa longueur, soit 364 km et 238 écluses. Cette voie d’eau joua un rôle de tout premier ordre pour désenclaver la Bretagne et permettre ainsi son essor économique.
Le développement du chemin de fer dès la deuxième partie du 19ème siècle puis l’amélioration du réseau routier marquent déjà le déclin des activités de transport sur le canal.
En 1923, la construction de l’usine hydro-électrique de Guerlédan marque le coup de grâce avec l’impossibilité de relier Nantes à Brest par le canal. Il est officiellement rayé de la nomenclature des voies navigables par décret du 27 juillet 1957 ».

Direction le village de Rohan

Situé à 17 km à l’Est de Pontivy, le village est le lieu d’origine de la famille de Rohan (XIème siècle). Déjà en ruine quand survint la Révolution, le château a aujourd’hui disparu. Il reste bien peu de vestiges de cette période. Néanmoins, la promenade sur les berges du canal nous offre un moment de plénitude verdoyante. 

Nous reprenons l’autocar en direction de Pontivy

Pontivy, cité des Rohan

« Entre le 14ème et le 18ème siècle, elle fut le chef-lieu de l’une des plus puissantes familles de la région : les Rohan. Le château qu’ils firent construire à l’entrée de la ville rappelle encore fièrement le temps de leur splendeur. Sous leur protection s’est développée la ville ancienne ou les charmantes rues du Fil et rue du Pont étaient le cœur économique de la cité ».

Pontivy, cité napoléonienne

« Puis en quelques pas, en entrant dans le quartier sud du centre ville, tout un pan d’histoire inattendu se dévoile : la cité napoléonienne !
Les ruelles du moyen-âge laissent place aux grandes rues impériales pour mettre en valeur les grands projets de l’empereur. Faire de Pontivy un centre militaire en temps de guerre et un pôle économique majeur en temps de paix, tels étaient les desseins de Napoléon 1er en 1802.
Autour de la place d’arme, au centre de la ville nouvelle, rien ne fut laissé au hasard. La caserne, massive, incarne le pouvoir du grand stratège militaire qu’était Bonaparte. Construit selon un style antique épuré et solennel, le tribunal se présente comme un véritable petit palais de justice. Pour compléter ce programme architectural et politique, un seul et même édifice abrite la mairie et la sous-préfecture, montrant aux yeux de tous que Napoléon 1er maîtrisait son empire sous tous les aspects. Ce qui fut le projet d’un homme est également le fruit d’un siècle d’histoire ».
(Source http://www.coeurdebretagne.bzh)

Après cette matinée riche en histoire, il est temps de rejoindre notre restaurant. Une salle agréable et insonorisée nous permet de poursuivre nos échanges, tout cela autour d’un menu soigné et servi par une équipe souriante.

Pour terminer la journée, direction la gare de Pontivy

Le train touristique Napoléon Express a été mis en service en juin 2021 par les bénévoles de l’association des Chemins de Fer du Centre Bretagne (CFCB), sur une ligne qui n’avait pas reçu de voyageurs depuis plus de 50 ans

Le nom du train n’a pas été choisi au hasard. Pontivy, la ville de départ, importante garnison napoléonienne était considérée comme un point stratégique par Napoléon Bonaparte dans son conflit avec les Britanniques. L’Empereur était même allé jusqu’à renommer Pontivy en Napoléonville. Et c’est son neveu, Napoléon III, qui décidera en 1855 de la création de cette ligne de chemin de fer.


L’autorail X3890 construit en 1952 (une belle année … sourire) est surnommé « Picasso » par les cheminots à cause de l’unique cabine de conduite excentrée (kiosque), dont la forme n’est pas en harmonie avec celle de la caisse, ce qui fait penser aux tableaux de visages peints par Pablo Picasso où les yeux et le nez étaient décalés.

Notre chauffeur met à profit sa connaissance des circuits électroniques de l’autorail pour nous transporter à destination de Lambel-Camors.


A chaque panneau de signalisation « S », il siffle son arrivée à l’approche d’un passage à niveau non muni de barrières.

Sur 35 km le long des gorges du Blavet, à une vitesse de 40 km/h les voyageurs profitent du spectacle.

Et pour les amateurs de cyclisme, en bonne place dans l’autorail, nous rencontrons l’enfant du pays : Jean Robic dit « Tête de cuir », vainqueur du 1er tour de France d’après guerre en 1947.

***

Ils avaient le sourire nos gentils organisateurs après cette journée remarquablement organisée.


Texte de Guy Yan. Alain Nozet et Guy pour les photos
France Triffault pour la mise en page

En route pour La Roche Bernard,

A 07h30 précise, les deux autocars grand tourisme de notre voyagiste “Visages du Monde” prennent la route avec la centaine de participants à ce voyage annuel Le Magnolia.

02h15 plus tard nous voilà arrivés sur le quai de la Douane en contrebas du village. Pour éviter de se mouiller, de l’autocar nous sautons rapidement dans le petit train qui nous amène au point de départ pour découvrir les vieux quartiers.

Chantons sous la pluie – Singin’ in the Rain ! (Il ne manque que la musique… tralala lalère, tralala, lala)

En haut, le gros du bourg, sur son promontoire rocheux. En bas, le joli petit port bordant La Vilaine. On fait remonter ses origines à l’an mille lorsque Bern-Hart, un viking, établit un donjon sur cet éperon, idéal site défensif. 

Après la présentation par notre guide de ce village d’à peine 700 habitants, armés de nos parapluies, nous arpentons les ruelles tortueuses des vieux quartiers et nous laissons surprendre par un monument, un panorama, un détail insolite.

Les vieux quartiers dont la plupart des bâtisses, datant des XVIème et XVIIème siècles, donnent aujourd’hui un côté pittoresque à cette ville. Autrefois, ce quartier servait de lieu de commerce et de stockage de marchandises.
Mais ce sont surtout les bâtiments médiévaux qui retiennent l’attention.

En témoignent ces quelques rues et leurs jolies surprises, on emprunte la rue de la Quenelle avec ses hautes maisons ornées de fenêtres taillées dans le tuffeau, puis le chemin du Ruicard.

Nous arrivons sur le “site du rocher” que nous gravissons pour son panorama. C’est un lieu chargé d’histoire car c’est en voyant ce rocher et ce site granitique que les fondateurs de la ville (probablement vikings) décidèrent de s’y installer. Il offre aujourd’hui une vue imprenable sur La Vilaine, les  ponts et le port de plaisance. Fait étonnant, nous pouvons observer deux imposants canons : ils proviennent en réalité du vaisseau “Le Juste” coulé lors de la Bataille des Cardinaux en 1759.

La Vilaine, fleuve paisible qui coule au pied de cette ville, a marqué l’histoire de La Roche-Bernard et des hommes qui ont pu l’exploiter. Amarrée au fond du vieux port, nous apercevons la plus grande concentration de vieux gréements de Bretagne avec la Flottille Traditionnelle de Basse Vilaine, dont un certain nombre est labellisé « Bateau d’Intérêt Patrimonial ».
Richelieu y fit construire La Couronne, un vaisseau considéré comme le prototype des navires de guerre de la flotte royale. 

Pour terminer cette promenade pédestre, on revient à la place du Bouffay : c’est ici que se dressait la guillotine après la Révolution et que se trouve toujours la maison du Canon ornée d’une horloge, d’un clocher et naturellement d’un canon. Ce dernier provient d’un vaisseau échoué en 1760 qui affronta les Anglais au large du Croisic.
C’est désormais l’hôtel de ville et, jusqu’au début du siècle, le lieu de rendez-vous des dockers en attente de déchargement.

Un peu moins exposé à la pluie, nous continuons par une visite avec le petit train. Au départ de la ville haute, nous sommes surpris par la vie commerciale de ce petit village. Un nombre important de commerces nous tendent les bras. Faute de temps, nous n’avons pas l’opportunité d’y entrer, mais finalement c’est peut-être mieux pour la carte bancaire…

Nous empruntons la rue de Nantes et passons devant la chapelle Notre-Dame, plus ancien édifice de la commune, a elle aussi été diversement reconvertie : premier temple protestant de Bretagne, elle servit de tribunal révolutionnaire et de grange à fourrage. 

Nous franchissons le pont métallique de 1960 dont le tablier est à plusieurs dizaines de mètres au-dessus de l’eau qui offre une vue panoramique sur La Vilaine.
Nous remarquons les ruines du pont du XIXe avec ses 2 imposants piliers détruits pendant la seconde guerre mondiale. Ce fut le premier pont à tablier en bois suspendu de France (1839).

Nous revenons vers la cité en passant par le port.

Enfin au sec : le nom du restaurant ne s’invente pas.

Un accueil chaleureux, un menu qui flatte les papilles, un service exemplaire dont les convives ont apprécié de manger chaud et ensemble. Bien réchauffé, les mines l’attestent, nous sommes conviés à rejoindre le ponton situé à quelques encablures du barrage d’Arzal. Mis en service en 1970, ce barrage est principalement destiné à réguler le débit de La Vilaine et à fournir de l’eau potable à la presqu’île guérandaise pendant la saison touristique. C’est un des rares barrages estuariens dans le monde.

Toujours au sec, nous rejoignons à pied le ponton d’embarquement pour notre croisière commentée. Nous en profitons pour faire la photo de famille.

La “Saurine”, de la compagnie des Vedettes Jaunes nous emmène sur La Vilaine jusqu’à la Roche Bernard et retour. C’est l’occasion de découvrir les versants boisés du fleuve. Pour les plus imaginatifs, ils peuvent se prendre pour le viking qui découvrit la petite cité. Pour d’autres, rien ne vaut un bon bol d’air frais pour ne pas en rater une miette.

Bien que l’on ne ressent plus ici les effets de la marée, le fleuve ne fut pas aussi calme qu’espéré : vent et clapotis étaient bien présents. “Même pas malade”, pouvons-nous entendre !

Pas facile la prise de vue !

 

Pour conclure, La Roche Bernard a su préserver son charme, son authenticité et un patrimoine exceptionnel.

Il est temps de rentrer à Douarnenez. Une journée appréciée par les participants qui n’ont pas manqué de remercier notre commission “Animations & Voyages”.

Guy Yan (photos et texte) – Marie-Joëlle et Guy pour la mise en page

Voyage à Quintin

J’v’ attendons à Qhintin, « Une petite cité de caractère »

Dès 07h30, le car fait sa tournée dans Douarnenez pour regrouper les participants à ce voyage au cœur de la Bretagne.

     

deux heures de route, nous voilà au cœur de Quintin situé en Côtes d’Armor, à 25 minutes des plages de la Baie de Saint-Brieuc. Quintin compte un peu moins de 3000 habitants.

Nous sommes pris en charge par l’office du tourisme. Le groupe se scinde en deux pour un meilleur confort de la visite. Anna, notre guide, nous apporte de nombreuses explications concernant le riche patrimoine historique de Quintin. L’ancienne ville close fut assiégée et pillée à deux époques. La première fois (1487) à la fin des guerres entre le Duché et le Roi de France ; la seconde (1588), à la fin des guerres de la Ligue, alors que la ville tenait pour Henri IV, contre le duc de Mercœur. Ses murailles ne furent jamais relevées depuis lors, et servirent de carrières.

Partant de la place 1830, la visite se dirige devant la fontaine «Notre dame d’entre les portes» (XVème siècle).

 

Quelques pas nous amènent devant le parvis de « Notre Dame de Délivrance Quintin ». 

La basilique abrite la relique de la  
ceinture de la Vierge Marie.
En 1250 pendant la 7ème croisade avec le roi Saint Louis, Geoffroy Botrel, seigneur de Quintin, reçoit, à Jérusalem, la ceinture de la Vierge Marie.
La relique est visible et peut être vénérée le jour du Pardon, 2ème dimanche de mai, et le 15 août (fête de l’assomption de Marie).

Nous nous dirigeons vers la place du Martray. Au Moyen Age, cette place fut le lieu des châtiments publics, et à la révolution française, celui des exécutions capitales.
A Quintin, la guillotine ne fut jamais utilisée puisqu’il n’y eut pas de condamnation à mort.

Nous remontons une petite rue. Le parc de Roz Maria s’ouvre à nous. Ancien jardin des Pères Carmes, religieux voués à la prédication et à la méditation. Arrivés à Quintin en 1619, les Pères Carmes en furent chassés par la population en 1791. Ils ont fait de ce parc un lieu de contemplation en l’aménageant de pièces d’eau et de multiples essences d’arbres. Le couvent et ses dépendances sont aujourd’hui propriétés privées. L’ancien parc est devenu jardin public. Les fontaines et bassins du jardin des Carmes représentent un ensemble architectural remarquable construit vers le milieu du XVIIIème siècle.

Pour terminer la visite, tout en croisant le groupe n°2, nous entrons dans la cour du château,

  
Le domaine de Quintin a la particularité de rassembler au cœur d’un même parc deux châteaux, des remparts, une tour des archives et des jardins à la française. Conservé dans une même lignée depuis le XIIème siècle, le domaine de Quintin a vu se succéder de nombreuses familles : du Perrier, Rohan, Coligny, La Moussaye, Lorge, Choiseul, Polignac…http://www.chateaudequintin.fr/

Entrer dans l’intimité de ces familles, guidés par la châtelaine elle-même, la comtesse Caroline de Bagneux, nous contemplons les intérieurs meublés et ses pièces d’art remarquables. Un vrai moment de bonheur de remonter le temps.

Pour clore la visite du château, nous profitons  de l’exposition « Les arts de la table ». Elle présente actuellement près de 900 pièces autour des arts de la table (cristallerie, orfèvrerie, porcelaines de Saxe, Canton, Paris, Sèvres, Compagnie des Indes et faïences, menus anciens et linge de maison), rythmées par diverses règles de bienséance qui intéressent petits et grands…

12h30, le moment de se regrouper pour passer à table. Belle surprise, nous déjeunons au château.

Après avoir dégusté, entre autres, un mitonné de volaille au cidre et son duo de légumes à la bordelaise, il est temps de reprendre le car pour Lamballe et visiter le Haras National, haut-lieux de l’élevage du cheval breton.

Etabli en 1825, sous Napoléon, le Haras National de Lamballe hébergeait plusieurs étalons nationaux, choisi pour leurs origines et leurs performances, constituant ainsi un réservoir génétique de premier plan. Le site de Lamballe devint le berceau de la race du célèbre Postier Breton encore présent aujourd’hui sur le site. Avec son remarquable “punch”, le Postier s’est illustré dans les transports et dans l’artillerie en 1914-18. http://www.haras-lamballe.com

Une visite guidée par Mazarine, stagiaire au haras, nous fait partager sa passion pour le cheval.

Déjà 18h00 ! Il est temps de rentrer à Douarnenez. Une journée appréciée par les participants qui n’ont pas manqué de remercier le GO (gentil organisateur) Alain Nozet par un tonnerre d’applaudissements.

Guy Yan (photos et texte)France Triffault  pour la mise en page

Sortie annuelle sur la Ria d’Etel…

Au fil de l’eau  sur la Ria d’Etel

10h30, Embarquement pour découvrir la plus secrète des mers intérieures depuis le port d’Etel ; approcher la fameuse “barre” et remonter paisiblement la rivière à la nature préservée et à la beauté incontestable.

 Le sémaphore de Plouhinec possède une, voire plusieurs originalités… Il s’agit du dernier sémaphore civil de France et il est tenu par une femme.
Afin de guider les bateaux souhaitant pénétrer dans la ria, le sémaphore de la barre d’Etel, situé sur la commune de Plouhinec, a été construit en 1960.
Un mât de signaux, dit « mât Fenoux », fournit aux navigateurs les indications pour franchir cette barre. 

Après un excellent déjeuner à Erdeven au “village de vacances Kéravel”

promenade commentée sur l’Île de St-Cado, commune de Belz (56)
St-Cado, moine évangilsateur originaire du Pays de Galles, a donné son nom à ce site remarquable de la Ria d’Etel.

une Chapelle romane, classée Monument Historique, lui est édiée .


Près de la chapelle, un imposant calvaire de pierres avec trois larges escaliers et quatre piliers a été érigé en 1832.          

Autrefois, utilisé comme lieu de séchage des cordages à mailles de chanvre, les femmes de pêcheurs, les enfants, ramendaient les filets sur place.

en contrebas de la chapelle, la Fontaine 18ème siècle séduit par ses lumières et ses paysages

L’îlot de Nichtarguer (maison de l’huitre) est une minuscule bande de terre sur laquelle a été construite en 1894 la maison du gardien du parc ostréicole.
L’ilôt aurait en fait pris le nom de la maison : istr (huîtres, et se prononce ichtre) guer (maison) , la maison des huîtres, nicharguer, le “n” servant d’article.

en route pour découvrir le monde de Carabreizh à Landevant…

95 personnes ont participé à cette sortie annuelle de Magnolia

France, pour la mise en pages, texte et photos

Sortie annuelle en Brière

une flèche  indique l’emplacement des sites visités

La sortie annuelle du 3 juin 2016 a réuni  88 personnes pour découvrir le   Parc Naturel Régional de Brière

Visite du Château de Ranrouët en matinée.
Situé à une place stratégique, en bordure de Brière sur la commune d’Herbignac, le Château de Ranrouët commandait l’entrée de la presqu’île de Guérande.
Il a été édifié au 13ème siècle et constamment remanié jusqu’au 17ème siècle.

L‘après-midi visite insolite du marais en barque poussée à la perche…

……. puis en calèche dans le petit village aux toits de chaume de Kerhinet sur la commune de Bréca

et bien sûr le déjeuner à l’auberge des “Calèches Briéronnes” à Saint-Lyphard

Une sortie qui a fait l’unanimité des participants !

Guerlédan : le lac asséché

Vendredi 26 juin 2015 –
Visite de l’assec du lac de Guerlédan Lac_Guerledan

98 personnes ont participé à la visite exceptionnelle du lac asséché pendant 6 mois.
Le remplissage naturel du lac se fera à partir de novembre pour une remise en service de la centrale hydro-électrique début 2016.
Notre arrivée à Caurel Beau-Rivage vers 10h

visite guidée du site avec nos guides Gaspard & Jean-Michel

après le pique-nique ….

…. une rando d’une heure avec Maurice  Maurice (18)

et deux autres dans le bois de Caurel, rando (16a)

l’une de 14 km avec Renée et Françoise

et l’autre de 11 km avec France et Alain

les ardoises bleues…. au XIX°siècle, Caurel était le principal
bassin de production d’ardoises en Côtes du Nord
“Tue-vent”  (voir photo ci-dessous) ce coupe-vent avait une utilité double :  il protégeait le fendeur des intempéries et surtout les ardoises du séchage avant le fendage

le barrage     

fin de balade ….. avec une jolie grimpette !!!

Bonnes vacances !