Archives annuelles : 2020

Les “drôles de dames” du scrapbooking…

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 2020-2021_Scrapbooking-scaled-514x1024.jpg.
Déjà 4 semaines que l’atelier scrapbooking a commencé. Toutes les participantes ont leur matériel de base et il y a déjà des cartes et des portes masques qui ont vu le jour.
Pourtant la “classe” n’est pas bien disciplinée, et les consignes ne sont pas toujours écoutées.
Aussi, il y a de nombreux coups de ciseaux et de collage
s malheureux.
Mais pas de panique ! ce n’est que du papier et il y a toujours une solution pour rattraper les erreurs.
En plus, ça fait bien rire les copines…

Photos et mise en page Jo Le Bot

Inscriptions 2020


Les inscriptions 2020 se sont déroulées le lundi 7 septembre à la salle des fêtes de Douarnenez avec bien entendu l’application des règles sanitaires en vigueur…

Les responsables des 25 activités de l’association étaient présent(e)s pour renseigner les nouveaux adhérents et répondre à leur attente.
L’espace offert par la salle des fêtes a été particulièrement apprécié.
Une journée bien remplie !!

France Triffault  (photos et mise en page)

Randos d’été 2020

14 août – Autour de Pors Théolen (clic)  ses amers (clic)Cléden Cap Sizun (clic)  –  Amer et navigation maritime (clic)
7 août  – De la Pte de Brézellec à la Pte de Penharn (clic)    

Le Sarrasin (Fagopyrum esculentum ou Polygonum fagopyrum) est une céréale annuelle sans faire partie des graminées.
On l’appelle couramment blé noir lorsqu’elle est transformée en farine. Mais le sarrasin est également utilisé comme engrais vert pour nettoyer les sols envahis de mauvaises herbes.

La Salicaire commune (Lythrum salicaria) est une plante herbacée de la famille des Lythraceae très répandue dans presque toute l’Europe, à proximité des cours d’eau où elle forme de longues inflorescences rose pourpré semblables à des épis et facilement reconnaissables.


31 juillet – Le Stangala – Gorges de l’Odet sur Quimper et Ergué Gabéric (clic)     
24 juillet – Lescoff (clic)Pointe du Raz (clic) Plogoff (clic)   et plus encore !… (clic)  

France Triffault (photos et mise en page)

Rando… la reprise !

Enfin, les randonnées reprennent !

Décision fut prise par le conseil d’administration de reprendre les randonnées et l’atelier photos à partir du 02 juin.

Quel bonheur de se retrouver après 11 semaines de confinement !
25 personnes se regroupent ce vendredi 5 juin 2020, tous souriants et heureux d’être là  “Il ne fallait pas rater cette reprise tant attendue ! “

Pour un respect strict de la distanciation physique, France nous scinde en 3 groupes pour ne jamais dépasser 10 marcheurs par groupe. Les groupes gardent entre eux une distance d’une trentaine de mètres. Nous partons de Pouldavid pour une marche de 7 km à allure ultra cool. C’est mieux pour les masses musculaires endolories (sourire)

Empruntant la voie verte, nous nous dirigeons vers Pouldergat, via le moulin de Kerru.

Les habitudes ne se perdent pas. Pendant la pose “bonbons”, Joël propose sa pose “culture générale” pour la joie de tous
.         

Les groupes repartent pour terminer leur périple en passant par les jardins de Pouldavid. Marité en profite pour nous présenter ses cultures. 

Un bel après-midi timidement ensoleillé.

“Cela fait du bien de se retrouver ! “ Alors n’hésitez pas à rejoindre votre groupe.
Paul, Daniel, Marie-Claude, Michel, Alain, Marie-Hélène, France, Alain et Marité vous attendent aux heures et lieux habituels (clic pour rappel des heures et lieux de RV).

Pour rappel, la marche 4/5 km du jeudi ne reprendra qu’en septembre.

Guy YAN (photos & texte )

Photos prises par Claudine pour célébrer nos plages après ces 2 mois de privation…

  France Triffault (mise en page)

Déconfinons …avec les Coccinelles

Selon la légende, au Moyen Âge, un homme accusé d’un crime qu’il n’avait pas commis devait être décapité. Mais lorsqu’il posa la tête sur le billot, une coccinelle se posa sur son cou. Le bourreau tenta de l’éloigner mais elle revint systématiquement à sa place.
C’est alors que le roi Robert II le Pieux y vit une intervention divine et
gracia l’homme, d’où la naissance légendaire de l’expression «beste de bon Dieu» considérée comme un porte-bonheur qu’il ne fallait pas écraser.
Le vrai meurtrier
aurait été arrêté quelques jours plus tard.

Tout le monde connaît la coccinelle adulte. Plus rares sont ceux qui connaissent ses œufs, sa larve ou sa nymphe.
Je vous propose dans cet article de découvrir son
cycle de vie et les différents stades de son développement.

Comme tous les coléoptères, la coccinelle effectue une métamorphose complète, c’est-à-dire que la larve et l’adulte ne se ressemblent pas. Ainsi, pour passer du stade larvaire au stade adulte, le développement de l’insecte passe par un stade de transformation sous forme de nymphe.

Les femelles adultes qui se sont accouplées pondent des œufs ovales, de couleur jaune-orange, qui mesurent de l’ordre d’1 à 2mm. Ils sont souvent regroupés et le nombre d’œufs par ponte est variable selon les espèces.
4 à 5 jours plus tard (à une température de 20°C), une larve sort de chaque oeuf. La larve de coccinelle, comme tous les insectes, possède un squelette externe qui n’est pas extensible (la cuticule). Pour grandir, elle est donc contrainte de s’en séparer.
C’est le phénomène de mue. Les larves vont muer 3 fois, il y a donc 4 stades
larvaires chez la coccinelle, chaque stade ayant une durée de 4 à 5 jours (à 20°C).

Pendant toute cette période, la coccinelle consomme des pucerons pour assurer sa croissance.

A la fin du quatrième stade larvaire, alors que sa taille et son poids sont à leur maximum, la larve s’immobilise, colle son abdomen au dos d’une feuille et se courbe pour progressivement former une nymphe, dans laquelle la coccinelle adulte va se former.  

Au bout de quelques jours, une nouvelle coccinelle adulte sortira de cette nymphe, elle est jaune et molle, il faudra attendre un peu pour que son squelette se forme et que sa couleur définitive apparaisse.

Et elle se reproduira à son tour, bouclant ainsi le cycle de développement de la coccinelle.

Mais toutes les coccinelles ne sont pas rouges et le nombres de points est variable suivant les espèces (environ 5000).
   

Dans votre jardin, dès le début du printemps, vous pouvez observer les adultes de la dernière saison qui se réchauffent au soleil après leur long sommeil hivernal.
 

Jean Pierre Pariset (texte et photos)  France Triffault (mise en page)
cliquez sur les photos pour les agrandir

Pour avoir des coccinelles dans son jardin :
et en savoir plus (clic)
installer un hotel-abri à coccinelles (clic)
Comment attirer les coccinelles dans son jardin (clic)

Confinement : dernières photos ?

“Alors que La Douarneniste restait confinée,
les gastéropodes prenaient leurs aises en dévorant mes salades …”     Guy Yan 

Méduse “Rhizostoma pulmo”(clic) Généralement considérée comme inoffensive,
des réactions d’irritation de la peau rougeur, démangeaisons sont parfois signalées.  

 

S’agit-il de Zafar (clic) “notre” grand dauphin ?     

 

Photos de Kristian prises dans le port du Rosmeur (clic)

Perles de pluie (clic) par Marie et Gabriel (GF) 

Photos de Gisèle, Joël, Gabriel, Marlyne et Claudine

Un partage proposé par un adhérent de Bretagne Vivante  Les vidéos de Steven // De becs et de plumes (clic) sur le comportement et le chant des oiseaux –
Vidéo tournée dans son jardin pendant le confinement.

France Triffault pour la mise en page

Confinement : s’évader avec Jean Pierre…

Insectes et Araignées

Avant-propos

Cela fait plus d’un mois que nous sommes confinés et le temps se fait bien long.
Nombreux d’entre nous possédons un jardin. Qui sait regarder trouvera dans le plus petit des jardins, un univers fascinant et primitif, une jungle derrière la réalité la plus banale que nous côtoyons tous les jours sans y prêter attention.

Les bébêtes de mon jardin

A la faveur des beaux jours et du temps « disponible » je suis parti à la recherche de mes amis les insectes et de leurs prédateurs les araignées.

Commençons par les plus connues, les Apidés (clic) abeilles et bourdons environ 1000 espèces, d’une taille de 3 à 27 mm.

Cliquez sur les photos pour les agrandir

                   L’Apis Méllifera (clic) notre abeille à miel nidifie dans les cavités des arbres. Largement domestiquée elle vit aussi dans les ruches, nous donnant miel et autres produits.

  Le Bourdon ou Bombus Hortorum (clic) a trouvé, tout comme les abeilles, le chemin vers les Jacinthes de mon jardin.

Les punaises ou Coréidés (clic) elles sont souvent ovoïdes et brun terne, elles consomment bourgeons,  pousses, fruits et graines de leurs plantes-hôtes.

Coreus Marginatus (clic)

Il y a 2000 espèces de Coroidae (clic) leur taille varie de 10 à 18 mm. Certaines grandes espèces émettent une sécrétion à odeur fruitée désagréable par des glandes du thorax en cas de menace.

Les Pentatomes (clic) ou Punaise à bouclier, ont sur le thorax des glandes produisant une substance répulsive suffisamment puissante pour provoquer des maux de tête.

  Palomena Prasina (clic)

C’est le printemps et la période de reproduction, pour les punaises aussi.

       

Celle-ci a décidé de jouer à cache-cache avec le photographe.   

Les mouches (clic)  c’est l’un des groupes les plus importants des insectes, de la famille des Diptères (clic)
Melanostoma (clic)  En passant par notre mouche domestique au moucheron, d’une taille qui va du demi-millimètre jusqu’à 8 cm. 

autres mouches (clic)  

Les Charançons (clic) sont une autre des grandes familles des insectes.  

     
Un Scarabée bleu
(clic) se promène.

 Un insecte non identifié. Je fais appel à qui peut m’aider à son identification.  (clic) ??

Les araignées (clic) aussi sont nombreuses dans un jardin et les différentes espèces ne sont pas moins passionnantes. Elles ont quatre paires de pattes, huit yeux, un corps en deux parties : céphalothorax et abdomen.

Les Aranéides (clic) sont les plus visibles, elles tissent des toiles élaborées, verticales et circulaires et elles se tiennent au centre de la toile en attendant leurs proies. L’Épeire diadème est très commune, sa couleur varie mais on distingue un dessin en forme de croix sur son abdomen.                   Elle tisse sa toile

L’Araniella Cucurbitina (clic) ou araignée courge, la femelle a un abdomen vert vif.

La même avec sa proie.

 A l’affût au centre de sa toile (en contre-jour).

 Les Saltiques, les araignées sauteuses (clic) repèrent leurs proies grâce à leur vue excellente et bondissent dessus.

                      .

Les Thomisidae ou araignées-crabess (clic) doivent leur nom usuel à leur corps trapu et à leur déplacement latéral. Il y a près de 2500 espèces, de 3 à 12 mm.

    La Xysticus cristatus (clic) se tient à l’affût dans les feuilles des buissons presque invisible, sauf celle-ci qui s’est endormie au soleil. 

Ha ! Je l’ai réveillé avec mon appareil photo.

Une autre Thomisidae, ma préférée, la Misumena vatia (clic) une maîtresse du camouflage, elle peut changer de couleur selon la couleur de son environnement (blanche, jaune ou vert pale).

Sur la Thomisidae blanche femelle (clic) il y a deux rayures foncées sur le céphalothorax.

La chenille de la Pyrale (clic) du buis et un cocoon en arrière plan.
Il est déjà trop tard, mon buis est infecté à 90% !  Vivement l’ouverture de la déchèterie, le traitement sera radical…

Les Coccinelles (clic)

       

J’espère que ce petit dossier sur les insectes et les araignées de mon jardin vous a plu et éveillé votre intérêt pour ces petites bêtes.

Je vous propose de vous parler plus précisément de nos amis les coccinelles et de son cycle biologique dans un prochain dossier.

A bientôt.

Jean Pierre Pariset (photos et texte)  France Triffault (mise en page)  

Info :   Bretagne Vivante propose un “Safari des insectes des jardins” (clic) pour aller sur le site.